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Recto de la pochette du disque Columbia Masterworks ML 5625
Étiquette verso du disque Columbia Masterworks ML 5625
Leonard Bernstein

Richard STRAUSS
Till Eulenspiegels lustige Streiche
Les Joyeuses Facéties de Till l'Espiègle
poème symphonique op. 28, TrV 171
Orchestre Philharmonique de New York
Leonard BERNSTEIN
Brooklyn, St. George Hotel, 20 avril 1959

La partition de cette oeuvre est datée du 6 mai 1895, sa composition se situe donc au milieu des pièces symphoniques du musicien, entre „Mort et Transfiguration“ et „Ainsi parlait Zarathoustra“, bien avant ses opéras majeurs. Ce poème marquait chez Richard Strauss un besoin de détente, une revanche du goût de vivre contre la hantise du tragique humain, c'est d'ailleurs une des expressions d'humour et de gaieté des plus achevées de la littérature musicale. La première audition fut donnée à Cologne le 5 novembre 1895 par l'orchestre du Gürzenich sous la direction de Franz Wüllner.

Le poème reprend le personnage légendaire en qui s’incarne, pour le peuple allemand, le joyeux vagabond, celui qui tente toutes les fortunes et qui essaye tous les métiers; il est représenté par le cor d'harmonie et la clarinette en mi bémol. La sonorité nasillarde de cette clarinette convient parfaitement à la personnalité de Till. La structure de la pièce reprend celle d'un rondo.

La partition comprend une série d'annotations de la main du compositeur pour décrire chaque motif:

Il était une fois un bouffon coquin
nommé Till l'Espiègle.
C'était un malicieux lutin
parti vers de nouvelles facéties.
Attendez un peu, peureux !
Hop ! à cheval à travers l'étalage des marchandes de poissons.
Il court avec des bottes de sept lieues.
Caché dans un trou de souris.
Déguisé en pasteur, il sent l'onction et la morale…
Toutefois, le vaurien se révèle par son gros orteil.
Mais comme il se rit de la religion, il ressent soudain une peur panique de la mort.
Till chevaleresque et échangeant des grâces avec de charmantes jeunes filles.
Il leur fait la cour.
Un refus élégant est aussi un refus.
Jure vengeance contre la race humaine.
Thème des philistins.
Après avoir démontré aux philistins quelques thèses plutôt monstrueuses, il les abandonne, ébahis, à leur sort.
Grimace lointaine.
Chanson de Till.
Le tribunal.
Il sifflote nonchalamment.
Sur l'échafaud.
Il pend, l'air lui manque, un dernier spasme, Till a vécu

Voici donc...

Richard Strauss, Till Eulenspiegels lustige Streiche (Les Joyeuses Facéties de Till l'Espiègle), poème symphonique op. 28, TrV 171, Orchestre Philharmonique de New York, Leonard Bernstein, Brooklyn, St. George Hotel, 20 avril 1959

Gemächlich - allmählich lebhafter - sehr lebhaft 15:07

Provenance: Columbia Masterworks MS 6225

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Les Joyeuses Facéties de Till l'Espiègle