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Johann Sebastian BACH
Cantate «Nimmt von uns Herr, du treuer Gott», BWV 101
(1er, 4e, 6e et 7e mouvements)
Elisabeth SPEISER, soprano, Lucienne DEVALLIER, alto
Jakob STAEMPFLI, basse
Choeur Pro Arte de Lausanne, André CHARLET
Orchestre de la Suisse Romande
Ernest ANSERMET
3 avril 1968, Victoria-Hall, Genève

Cette cantate fut écrite pour le dixième dimanche après la Trinité en 1724, soit le 13 août, à Leipzig. Ce dimanche, l’office commémore la destruction de l’ancien Temple de Jérusalem en 70 après Jésus-Christ, un jugement de Dieu sur le peuple d’Israël, commémoration rendue par la lamentation de Jésus sur Jérusalem et la prophétie de la destruction telle que rapportée à Luc 19, 41-48.

Son livret est dérivé d’un hymne luthérien du XVIe siècle des plus connus, écrit au sortir d’une épidémie de peste en 1584 par l’ancien maître de chapelle et prêtre de Silésie et Saxe, Martin Moller (1547-1606) et fait allusion à un ancien texte en latin (Aufer immensam, aufer iram, Wittenberg 1541). La mélodie renvoie au cantique «Vater unser im Himmelreich» (1539) de Martin Luther. Le librettiste de la cantate de Bach a tenté d’y intégrer un maximum de vers originaux, sauf dans le deuxième mouvement où le texte ne contient aucune citation du texte d’origine. En revanche, dans les deux récitatifs, le texte original de la stance a été laissé tel quel, entremêlé avec des vers librement composés. En outre, le librettiste isole complètement l’évangile avec le vers conclusif du deuxième mouvement, «Que notre vie dans le pêché ne nous fasse pas subir le même sort de Jérusalem!» ainsi que le passage autour de «l’hostile destruction» du troisième mouvement.

Une épidémie de peste était vue à cette époque comme la métaphore du châtiment divin qui attend le pêcheur, et appelait la miséricorde. "[...] La cantate superpose donc littéralement les deux caractères: des élément musicaux véhéments et d’autres vulnérables. C’est la «technique» du double affect que Bach utilise très souvent: deux positions antagonistes réunies dans une seule musique.

On constatera aussi à quel point l’hymne original est saillant. Bach n’en préserve souvent que la première et la dernière strophe et réinjecte sa mélodie ici ou là comme une réminiscence instrumentale. Mais, ici, il réussit à greffer l’hymne ancien d’une manière obsédante dans presque tous les récitatifs et les airs (indiqué en gras dans le texte allemand).
[...]" [1a]

Le choeur d'entrée est très dramatique, chargé de dissonances, son texte intimidant. Il "[...] est mis en relief par une écriture «archaïque», certainement pour ce qui est de la sonorité générale du mouvement. L’amplification à l’ancienne du choeur par un quatuor composé d’un cornetto et de trois trombones lui confère un caractère spécifique. Le même raisonnement vaut pour le travail sur la forme qui s’oriente clairement sur le contrepoint strict typique des anciens motets. À première vue, la partie vocale en soi se présente dès lors comme un motet à cantus firmus «à l’ancienne». La mélodie du cantique se retrouve au soprano et est jouée en valeurs longues, vers après vers, à chaque fois introduit par un fugato. Les parties des trois hautbois, des cordes et du continuo jouent un rôle inhabituel: elles sont indépendantes des voix mais plus vocales que d’habitude et reprennent leur propre matériau thématique. La répétition d’une note (comme si l’on frappait à la porte), jouée par le premier violon au début du premier mouvement et revenant à plusieurs reprises au cours du mouvement, est particulièrement évocatrice. Il en va de même pour le motif de soupir, fait de trois notes et revenant vers la fin de l’introduction instrumentale pour ensuite accompagner le premier vers du choral. C’est surtout ce motif qui confère au mouvement son empreinte de tristesse profonde et de lamentation implorante. [...]" [2a]

D’un point de vue stylistique, les mouvements suivants appartiennent clairement à l’époque de Bach. Dans l’air pour ténor, «Handle nicht nach deinen Rechten» [N’agit pas selon tes droits], une partie instrumentale virtuose s’associe à la séduisante ligne vocale: "[...] Le maître de chapelle de l’église Saint-Thomas a sans doute pu compter sur un virtuose de la flûte traversière, en 1724 un nouvel instrument au sein de l’orchestre – ce qui ne fut pas le cas à la reprise de l’oeuvre quelques années plus tard alors que la partie instrumentale est passée au violon. [...]" [2b]

Dans le troisième mouvement, "[...] le récitatif de soprano réintroduit la mélodie du choral et des bribes du texte original, chaque fois signalées par un accompagnement en rythme pointé. Ces citations à peine brodées s’intègrent avec naturel. Une fusion magistrale. L’air de basse pousse cette audace encore plus loin. On est au centre de la cantate. La spirale instrumentale réapparaît. Les hautbois, cette fois, harcèlent la basse. La voix presque nue interroge le ciel sur les premières notes de la mélodie originale. Quand elle replonge dans l’agitation, mimant la violence divine et implorant la clémence, le choral résonne cette fois aux instruments en une fanfare fantomatique. [...]" [1b]

L’air de basse «Warum willst du so zornig sein» [Pourquoi veux-tu te montrer si courroucé?], avec ses trois hautbois, est une pièce inhabituelle. "[...] L’«unité des affects» typique de l’époque baroque est interrompue par un changement à la sphère des affects, perceptible en apparence par le changement de tempi (vivace – andante, adagio): après la rage violente apparaissent les gestes d’imploration humble. Le choeur est également mis en exergue: Bach reprend du texte original les premiers vers de l’air de la mélodie chorale et les fait entendre au complet par les bois. [...]" [2c]

Dans le récitatif de ténor «Die Sünd hat uns verderbet sehr» [Le péché nous a profondément corrompus], Bach utilise pour la citation du choeur le même procédé que dans le récitatif du soprano, la mélodie du cantique apparaît ici toutefois dans son aspect original.

Le duo de soprano et alto «Gedenk an Jesu bittern Tod» [Souviens-toi de la mort amère de Jésus], accompagné par la flûte et le hautbois da caccia, "[...] est un quintette sur un rythme de sicilienne, de caractère méditatif avec une concentration musicale inhabituelle dans laquelle tout ce qui apparaît dans les trois premières mesures et demie est développé dans la citation du cantique par le hautbois da caccia et le contrepoint à la flûte. [...]" [2d]

La cantate se termine par une grande conclusion apaisante. "[...] Le récitatif du ténor ressemble à celui de la soprano, avec ses insertions du choral original. On y parle du pêché, de la faiblesse face à la tentation, du secours que Dieu peut apporter. La musique abandonne toute agitation et le dernier duo est une prière toute de tendresse, évoquant le Christ, face humaine et rédemptrice de Dieu. Le choral original vient refermer cette cantate, l’une des plus surprenantes qui soient. [...]" [1c]

(1) ↑a ↑b ↑c ↑d Christian Leblé dans ce programme de concert

(2) ↑a ↑b ↑c ↑d Klaus Hofmann, 2006, dans la brochure accompagnant le CD BIS-1481-SA

Le texte de la cantate et sa traduction en français, cité de [1d] (les passages de l’hymne ancien sont imprimés en gras):
cité de ce programme de concert avec une présentation de Christian Leblé
(cliquer sur la photo pour une vue agrandie, cliquer EN DEHORS de la vue agrandie pour la fermer)

Le 3 avril 1968 Ernest ANSERMET dirigeait l'Orchestre de la Suisse Romande dans un concert presque exclusivement consacré à Johann Sebastian Bach:

  ➤ Ludwig van Beethoven, Grande Fugue en si bémol majeur, op. 133
  ➤ Johann Sebastian Bach, Cantate No 67 «Halt im Gedächtnis, Jesum Christ»
  ➤ Johann Sebastian Bach, Cantate No 130 «Herr Gott Dich loben alle wir»
  ➤ Johann Sebastian Bach, Cantate No 101 «Nimm von uns, Herr, Du treuer Gott»

Les solistes étaient...

  ➤ Elisabeth SPEISER, soprano
  ➤ Lucienne DEVALLIER, contralto [*]
  ➤ Eric TAPPY, ténor (voir aussi cette page)
  ➤ Jakob STAEMPFLI, basse
  ➤ Choeur PRO ARTE de LAUSANNE, chef de choeur: André CHARLET

Lucienne Devallier, portrait fait par Photo F.Mueller, publié entre autres dans le Radio Je vois tout TV du 10 mai 1962, No 19, page 51 (*) Lucienne Devallier-Kaiser [**] (1928, Genève - 13.09.1969, Lausanne) est décédée jeune, emportée par une crise cardiaque à l'âge de seulement 41 ans, donc avant de pouvoir faire pleinement carrière. "[...] Lucienne Devallier était en pleine ascension dans une carrière dont les débuts furent difficiles malgré l'exceptionnelle valeur de cette grande artiste. Son contralto avait un timbre unique, une couleur d’une richesse émouvante, nourri du plus profond de l’âme, au service d’un art pour lequel elle se dépensa jusqu’à l’épuisement, toujours sévère pour elle-même, cherchant inlassablement à se per­fec­tionner.
Elle est née à Genève, en 1928, d’un père français et d’une mère genevoise, elle suivit des études de rythmique Jaques-Dalcroze dès l’âge de sept ans, puis de branches théoriques au Conservatoire de Genève.

Lucienne Devallier, portrait fait par Photo F.Mueller, publié entre autres dans le Radio Je vois tout TV du 19 septembre 1963, No 38, page 45 C’est dans sa dix-huitième année qu’elle s’abandonna à son désir de chanter, travaillant alors de cinq à six heures par jour, jusqu’à en pleurer de fatigue. Sans entrer dans une école officielle, elle reçut les conseils de Nina Nüesch, pédagogue d’un dévouement et d’une bonté rares, laissant s’épanouir un instinct musical souvent juste. C’est alors qu’elle découvrit Brahms, Bach et Haendel. Plus tard, cet autre merveilleux pédagogue que fut Albert Valmond lui communiqua à Lausanne le goût de la musique française, que Mme Léon Vallas, à Lyon, devait encore affiner, au contact de Debussy et de Fauré.
L’activité de Lucienne Devallier dans le domaine de l’oratorio, du récital, de l’opéra devint intense dès 1950, ses tournées l’emmenant dès lors dans la plupart des pays d’Europe et aux Etats-Unis (où elle eut la révélation du negro spiritual). Elle devint soliste de l’OSR, de l’OCL, de nos grandes sociétés chorales, des orchestres de la Tonhalle, de Winterthour et de Berne, à Rimini, Milan, Bologne, Radio-Lugano, Lyon, Montpellier, Strasbourg, etc. Aussi à l'aise dans le répertoire ancien et moderne, dans tout ce qui contient véritablement de la musique, Lucienne Devallier avait une façon inimitable dans sa profondeur et sa sincérité de communiquer son amour du beau à ses auditeurs. Dans les grands oratorios de Bach et de Haendel, dans le Lied (Schumann, surtout), elle vivait intensément ce qu'elle chantait, après avoir fait le vide autour et au-dedans d’elle. Qu’on se souvienne de son bouleversant «Frauenliebe und Leben» d’il y a quatre ans!

Lucienne Devallier chantant le «Frauenliebe und Leben» de Schumann, photo RTS publiée entre autres dans la revue Radio Je vois tout TV du 9 octobre 1969, No 41, Supplement page XVI Ouverte à tout, généreuse dans tout, elle avait offert son talent aux jeunes compositeurs suisses et étrangers, créant de nombreuses oeuvres de Pierre Wissmer, Klaus Huber, Heinz Holliger, Bernard Reichel, Jean Apothéloz, Jean Perrin, Joseph Reveyron. Dans sa discographie, il faut surtout mentionner «Les Noces», de Stravinsky, avec Ernest Ansermet (Grand Prix du disque de l’Académie Charles Cros en 1962).

Ces lignes trop brèves ne peuvent pas exprimer l’immense douleur de ses amis, partagée par tous ceux qui l’ont entendue, notamment dans les concerts de Noël de «Terre des hommes»
[**], où elle fut toujours poignante et si chaleureuse. Jd. [...]" cité de la Feuille d'Avis de Lausanne du 15 septembre 1969, page 55. Voir également les «FEUILLES MUSICALES et Courier suisse du Disque - Revue Musicale Romande» de janvier 1960 avec en couverture un portrait de Lucienne Devallier et en pages 4 à 6 un entretien de la cantatrice avec Dante Granato.

(**) Lucienne Devallier était l'épouse d'Edmond Kaiser, le fondateur de «Terre des hommes» et d'autres organisations humanitaires. Tous deux participèrent à la fondation de l'Ensemble Vocal de Lausanne par Michel Corboz.


Pour ce concert du 3 avril 1968, Un écho de la presse:

"[...] Concert de l'Abonnement - Cantates de Bach par Ernest Ansermet - Orchestre de la Suisse Romande, Choeur «Pro Arte»

C'est un émouvant concert qu'Ernest Ansermet avait réservé à son public genevois, pour cette douzième et dernière soirée d'abonnement, honorant les deux plus grands maîtres de la musique, Bach et Beethoven: du premier, trois cantates, du second la Grande Fugue op. 133, dans sa version pour orchestre à cordes.
Seule la version orchestrale de ce «quatuor collectif» peut traduire avec plénitude toute la puissance qui se dégage de cette oeuvre, affirme Ansermet dans le commentaire attachant et perçant qu'il donne de l'oeuvre: dressant un parallèle entre cette fugue dernière et l'autre «testament musical» qu'est l'Art de la Fugue, il conclut que la meilleure réalisation, dans les deux cas, sera celle qui mettra le mieux en lumière la musique conçue par l'auteur. Après avoir entendu son exécution de l'oeuvre, autant dire sa conviction profonde, on ne peut que souscrire à l'interprétation d'Ansermet: ignorant les accents expressifs qui, trop souvent, sont traduits avec emphase, le Maître dressa l'oeuvre dans sa merveilleuse grandeur architecturale en dessina les plans sonores avec une lumineuse clarté, particulièrement attentif à la transparence des timbres, à la pureté des lignes: aussi l'accent qu'il lui prêta s'imposa-t-il avec une force irrésistible.

L'audition d'une cantate de Bach est presque toujours une découverte: toutes sont pour ainsi dire de la même griffe que les Passions, mais si nombreuses que l'on ne peut jamais se vanter d'en connaître les beautés. C'est-à-dire le plaisir que prit le public à l'exécution des cantates BMW 130 («Herr Gott, dich loben alle wir»), 101 («Nimm von uns, Herr, du treuer Gott») et 67 («Halt im Gedächtnis Jesum Christ»). Ernest Ansermet leur insuffla la force d'un message vibrant, parvenant à concilier à la fois les exigences de l'architecture la plus rigoureuse et une ferveur faite de respect, de foi et de recueillement. Chacune de ces cantates acquit de ce fait une force expressive et une vivacité irrésistible, la complexité de l'écriture apparaissant en toute clarté, et la richesse de pensées étant restituée dans sa pureté première.

À cet émouvant succès participèrent les remarquables solistes Elisabeth Speiser, Lucienne Devallier, Eric Tappy et Jakob Stampfli, ainsi que le choeur «Pro Arte» de Lausanne, dont on a peine à croire — à considérer sa souplesse et la perfection de chacune de ses interventions — qu'il est composé d'amateurs: à André Charlet revient l'honneur et le mérite de l'avoir mené à un tel degré. Les noms de Michel Cuvit, André Pépin, Edgar Shann et Roger Reversy qui accompagnèrent les Airs avec raffinement, tandis que Doris Rossiaud et Lionel Rogg assuraient la partie continue.

Ce soir même, dans le cadre des «Concerts symphoniques de la Ville», le même programme sera repris, par les mêmes interprètes. Espérons que le public genevois se montrera digne d'une telle manifestation, et ne donnera pas une fois de plus, en désertant le Victoria Hall, la preuve d'un snobisme bien ridicule...
J.-C. P. [...]" cité du Journal de Genève du 4 avril 1968 en page 12, «J.-C. P.» doit être Jean-Claude Poulin

Lors de ce concert ne furent toutefois donnés que 4 extraits de la cantate BWV 101, les 1er, 4e, 6e et 7e mouvements.

Voici donc...

Johann Sebastian Bach, Cantate «Nimmt von uns Herr, du treuer Gott», (Écarte de nous, Seigneur, Dieu fidèle), BWV 101, Elisabeth Speiser, soprano, Lucienne Devallier, alto, Jakob Staempfli, basse, Choeur Pro Arte de Lausanne, André Charlet, Orchestre de la Suisse Romande, Ernest Ansermet, 3 avril 1968, Victoria-Hall, Genève

   1. Coro - Nimm von uns Herr, du treuer Gott...        (10:50) (-> 10:50)
   4. Aria (B) - Warum will du so zornig sein?...        (05:01) (-> 15:51)
   6. Aria (S, A) - Gedenk an Jesu bittern Tod!...       (08:08) (-> 23:59)
   7. Chorale - Leit uns mit deiner rechten Hand...      (01:42) (-> 25:41)

Provenance: Radiodiffusion

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   1. Coro - Nimm von uns Herr, du treuer Gott...

   4. Aria (B) - Warum will du so zornig sein?...

   6. Aria (S, A) - Gedenk an Jesu bittern Tod!...

   7. Chorale - Leit uns mit deiner rechten Hand...





Lucienne DEVALLIER, une photo publiée en couverture des «FEUILLES MUSICALES et Courier suisse du Disque - Revue Musicale Romande» de janvier 1960

Jakob STAEMPFLI, date et photographe inconnus

Le jeune André CHARLET, date et photographe inconnus, photo de presse Philips