Recto de la pochette du disque Amadeo AVRS 6179
Si les trois oeuvres du KV 107 ne sont des concertos ni au sens moderne, ni même au sens mozartien du terme, ils constituent cependant une fusion fascinante des périodes baroque finissante et classique naissante, ainsi qu’un aperçu intéressant sur le tout premier processus d’élaboration de la forme du concerto classique lui-même. Ils sont aussi de rares exemples de l’art de Mozart enfant prodige, instrumentant la musique d’un autre compositeur. Leur origine remonte vers 1764-1765, à l’époque où Léopold Mozart, très préoccupé de publicité, avait emmené son fils et sa soeur Maria Anna de haut en bas de l’Allemagne, en Belgique et en Hollande, en Suisse et en France, et finalement en Angleterre.
Voici donc...
Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto pour clavecin et orchestre en ré majeur, KV 107 No. 1, Isolde Ahlgrimm, Camerata Academica, Salzburg, Bernhard Paumgartner, 1960
Isolde AHLGRIMM, photo de presse Philips, env. 1960
Verso de la pochette du disque Amadeo AVRS 6179