Mise à disposition du contenu de mes pages selon les termes de la «Licence Creative Commons Attribution» *** Pas d´Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) *** *** NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) ***
Mise à disposition du contenu de mes pages selon les termes de la «Licence Creative Commons Attribution» *** Pas d´Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) *** *** NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) ***
Veuillez cliquer ici pour accéder à mon RSS FEED
Veuillez cliquer ici pour m´envoyer un message avec vos remarques!
Haut de page
Retour sur la page d´accueil de mon site - OUVRE UNE NOUVELLE FENÊTRE)
Recto de la pochette du disque Nonesuch H 71121
Verso de la pochette du disque Nonesuch H 71121
Étiquette recto du disque Nonesuch H 71121
Étiquette verso du disque Nonesuch H 71121

Joseph HAYDN
Symphonie No 13 en ré majeur
Little Orchestra of London
Leslie JONES
Nonesuch H 71121

Cette oeuvre fait partie du groupe de symphonies composées pendant les premières années de Joseph Haydn à la Cour d'Esterházy, le 3e groupe de symphonies dans la chronologie établie en 1990 par James WEBSTER:


Pour quelques détails sur ce groupe de symphonies, voir cette page de mon site.

Cette symphonie No 13 est avant tout caractérisée par des splendides parties de violoncelle et de flûte - plus particulièrement dans le 2e resp. 3e mouvement - ainsi que par l'utilisation de quatre cors:

"[...] Dans la Treizième Symphonie, Haydn essaya de montrer à quel point le quatuor de cors était adapté à l’orchestre symphonique. Il écrivit pour eux dans un style qui allait devenir la norme dans la musique du XIXe siècle, et par lequel les voix supérieures étaient données aux cors I et III, et les voix inférieures à II et IV, de façon à entrecroiser les instruments.

Haydn avait toujours à l’esprit les vastes dimensions et l’ample acoustique de la grande salle du palais lorsqu’il écrivit ses quelque vingt symphonies d’Eisenstadt entre 1761 et 1765. À partir de 1766, la majeure partie des activités musicales de la cour fut transférée au nouveau palais d’Eszterháza, dont l’intimité de la salle de musique poussa Haydn à explorer de façon plus approfondie des sonorités de musique de chambre. Ceci est particulièrement évident dans le premier mouvement de la treizième, dont les accords soutenus des instruments à vents contrebalancent et supportent les répétitions rythmiques vigoureuses du thème arpégé à l’unison des cordes qui domine le mouvement. On trouve une autre utilisation subtile de l’acoustique lorsqu’arrive la réexposition avec un piano subreptice, avant que les quatre cors à l’unison proclament fièrement l’idée arpégée.

L’Adagio cantabile est un mouvement pour violoncelle soliste qui pourrait provenir directement d’un concerto; sa mélodie serpente calmement sur un motif répété d’accords staccato joué par les autres cordes.

Le Menuet restaure la puissance tutti de l’orchestre tout entier, mais dans le trio Haydn réduit à nouveau l’instrumentation aux cordes, accompagnant cette fois un solo de flûte.

Pour le finale, Haydn combine un style fugué avec une forme sonate. Le sujet du cantus firmus paraîtra sans doute assez familier, puisqu’il s’agit du même thème de quatre notes du credo grégorien qu’on retrouvera quelque temps plus tard dans le finale de la dernière symphonie de Mozart, no41 en ut majeur, KV 551.
[...]" cité des notes rédigées en 1993 par Matthew Rye pour Hyperion dans le cadre de l'intégrale du Hanover Band sous la direction de Roy Goodman.

Dans les années 1960, Leslie JONES enregistra une cinquantaine des symphonies de Joseph Haydn avec son «Little Orchestra of London» - pour le label britannique Pye Records, et qui furent peu après rééditées aux USA par le label Nonesuch Records. L'enregistrement de la symphonie No 13 fut ainsi réédité en stéréo sur ce disque Nonesuch H 71121 (en mono sur Nonesuch H 1121), avec les symphonies No 29 et 64.

Je n'ai pas encore pu trouver de date d'enregistrement. Le disque fut publié en automne 1966: on retrouve sa parution mentionnée par exemple dans le quotidien «Lake Charles American-Press», Lake Charles, Louisiana du 8 octobre 1966, en page 24, ainsi que dans le «The Boston Globe», Boston, Massachusetts, du 16 octobre 1966, en page 106 (chonique de Michael Steinberg, Discology - Haydn: new issues):

Michael Steinberg, The Boston Globe, Boston, Massachusetts, 16 octobre 1966, page 106

Cité des notes de Edward Tatnall CANBY publiées au verso du disque Nonesuch H 71121:

Étiquette recto du disque Nonesuch H 71121
Voici donc...

Joseph HAYDN, Symphonie No 13 en ré majeur, Little Orchestra of London, Leslie JONES
C
   01. Allegro molto             03:31 (-> 03:31)
   02. Adagio cantabile          04:40 (-> 08:11)
   03. Menuet                    04:22 (-> 12:33)
   04. Finale: Allegro molto     03:19 (-> 15:52)

Provenance: Nonesuch H 71121

que vous pouvez obtenir en...

pour un téléchargement libre

4 fichier(s) FLAC et 1 fichier PDF dans 1 fichier ZIP


En écoute comme fichier mp3 320 kbps

1. Allegro molto
2. Adagio cantabile
3. Menuet
4. Finale: Allegro molto