Mise à disposition du contenu de mes pages selon les termes de la «Licence Creative Commons Attribution» *** Pas d´Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) *** *** NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) ***
Mise à disposition du contenu de mes pages selon les termes de la «Licence Creative Commons Attribution» *** Pas d´Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) *** *** NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) ***
Veuillez cliquer ici pour accéder à mon RSS FEED
Veuillez cliquer ici pour m´envoyer un message avec vos remarques!
Haut de page
Retour sur la page d´accueil de mon site - OUVRE UNE NOUVELLE FENÊTRE)
Le jeune Richard STRAUSS, date et photographe inconnus
Le jeune Richard STRAUSS, un portrait fait par Josef Lehmkuhl, date inconnue

Richard STRAUSS
Sérénade pour 13 instruments à vent, op. 7, TrV 106
Orchestre royal du Concertgebouw
George SZELL
19-20 juin 1964, Holland Festival, Amsterdam

Cette oeuvre de Richard Strauss pour deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, quatre cors, deux bassons et un contrebasson est une composition de jeunesse datant de 1881, alors qu'il était encore étudiant: "[...] la Sérénade op.7 en un mouvement n'est pas un assaut à tout casser du point de vue esthétique. Mais à 18 ans, Strauss était déjà un compositeur sérieux et expert, maniant le riche tissu à 13 parties avec une habileté univoque. [...]" cité d'un texte de Arnold Whittall, 2017.

"[...] Das Bläserstück des angehenden Komponisten wandelt auf den Bahnen der großen Mozart'schen Serenaden, zugleich aber wird die traditionsreiche Gattung in romantisches Licht getaucht, die dunkle Tönung und harmonische Strenge eines Johannes Brahms schimmert hindurch, gebunden durch die typisch Strauss'sche Eleganz der Tonsprache. Atmosphärisch dicht, gediegen im Klang und fein gearbeitet, wird der Andante-Charakter des Stückes vielfach abgewandelt. Kraftvolles und verhalten Dramatisches bereichern das Serenaden-Spektrum.

Das »klassisch« gerundete Anfangsthema mit seinen punktierten Rhythmen wirkt wie eine dezente Ehrerbietung an die Serenaden-Tradition und beschwört unweigerlich die Szenerie unterhaltsam-anspruchsvoller Harmoniemusik herauf. Hinter der Fassade birgt dieses Thema, in bester Mozart-Manier, so manche Überraschung, in seiner kunstvollen Gestaltung ist es weit komplexer und vielschichtiger, als es im ersten Moment erscheinen mag – raffinierte Abwandlung der Motivik dominiert vor einfacher Wiederholung. »Einheit in der Mannigfaltigkeit« dürfte die Devise gewesen sein, der Strauss auch im weiteren Verlauf folgte, in verschiedensten Zusammenhängen taucht Bekanntes wieder auf, Konstanz und Veränderung sind in jenem noblen Gleichgewicht gehalten, das Mozart dem Genre so unnachahmlich eingeschrieben hatte.
[...]" cité d'un texte de Torsten Blaich, 2010.

L'oeuvre fut donnée en première audition le 27 novembre 1882 au «Dresdner Tonkünstler-Verein (TV)» - dans la «Saal des Gasthauses zu den „Drei Raben“» - par 13 musiciens de la «Dresdner Hofkapelle» (voir les noms au bas de l'extrait de programme reproduit à gauche, cité de la brochure du CD Hänssler PH 15016) placés sous la direction de Franz Wüllner, en clôture du «Vierter Übungsabend»

Ce fut la première oeuvre de Richard Strauss a être donnée en concert à Dresden, et aussi la première fois qu'une de ses oeuvres fut entendue en dehors de sa ville natale, Munich.



Cette Sérénade est ici interprétée par des membres de l'Orchestre royal du Concertgebouw d'Amsterdam sous la direction de George SZELL. Elle ouvrait les concerts donnés les 19 et 20 juin 1964 dans le cadre du «Holland Festival», qui était entièrement consacré à des oeuvres de Richard Strauss. Celui du 19 juin fut retransmis par la «Radio Nederland Wereldomroep (RNW)» („Radio Pays-Bas internationale“, disparue en 2012):

 ➣ Sérénade pour 13 instruments à vent en mi bémol majeur, op. 7, TrV 106
 ➣ Vier letzte Lieder, TrV 296, Elisabeth Schwarzkopf, soprano
 ➣ Don Quixote, op. 35, TrV 184, Pierre Fournier, violoncelle

Voici donc...

Richard Strauss, Sérénade pour 13 instruments à vent en mi bémol majeur, op. 7, TrV 106, Orchestre royal du Concertgebouw, George Szell, 19-20 juin 1964, Holland Festival, Amsterdam (09:50)

Provenance: Radiodiffusion Radio Nederland Wereldomroep (RNW)

que vous pouvez obtenir en...

pour un téléchargement libre

1 fichier(s) FLAC et 1 fichier PDF dans 1 fichier ZIP


En écoute comme FLAC / WAV / MP3, le format est choisi automatiquement par le navigateur utilisé.

   Sérénade pour 13 instruments à vent en mi bémol majeur, op. 7, TrV 106