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Disque Metro Goldwin Mayer MGM E 3365, recto de la pochette, Cliquer sur la photo pour une vue agrandie
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Richard ELLSASSER, insert publicitaire datant de févier 1948

Johann Sebastian BACH
Concerto en ré mineur, BWV 1052
Richard ELLSASSER, orgue
«Philharmonia Orchestra of Hamburg»
Hans-Jürgen WALTHER
1956, «Musikhalle Hamburg»

Ce concerto est l'un des plus connus des concertos pour clavecin de Bach. Il provient probablement d'une partition plus ancienne pour violon, aujourd'hui perdue.

Pour une courte description de l'oeuvre un extrait des notes rédigées par Angela Hewitt en 2005 pour Hyperion:

"[...] Aujourd’hui encore, les musicologues débattent pour savoir si le concerto original était ou non de Bach. Mais je ne puis songer à un autre compositeur, car qui d’autre eût pu seulement approcher l’intensité et l’envergure stupéfiantes de cette pièce, sans parler de l’impact dramatique et émotionnel qu’elle suscite?

Avec son écriture à l’unisson, le tutti d’ouverture annonce à coup sûr quelque chose de spécial, bien différent des autres concertos pour clavier. Ce thème réapparaît tout au long de l’oeuvre pour séparer les incursions du soliste. La partie la plus dramatique du mouvement survient lorsque le clavier a un bref moment à lui, en partant sur une longue note de pédale tenue, à la basse. L’Adagio commence, lui aussi, sur un tutti à l’unisson – cette fois, un ground bass présent à chaque mesure, qui module en différentes tonalités et est parfois fragmenté. Quant au soliste, il se voit confier une aria passionnée et entame un dialogue avec les violons et les altos. L’ensemble rappelle en tout point une musique de passion. Le troisième mouvement offre à ce concerto le finale le plus brillant du corpus: il ne faiblit pas un instant, exigeant énormément de précision rythmique et de virtuosité.

Les deux premiers mouvements de ce concerto, qui apparaissent dans la Cantate BWV 146, «Wir müssen durch viel Trübsal in das Reich Gottes eingehen» („Nous devons passer par bien des tourments pour entrer au royaume de Dieu“), confient la partie solo à l’orgue, sous une forme légèrement moins développée. Fait surprenant, un choeur à quatre parties est ajouté par-dessus la partie de clavier, dans ce qui semble un mouvement lent déjà fort élaboré. Le troisième mouvement correspond à la Sinfonia de la Cantate BWV 188, «Ich habe meine Zuversicht auf den getreuen Gott gericht’t» („J’ai placé ma confiance dans le Dieu fidèle“). Ces deux cantates ont été écrites en 1726 et en 1728, et sont donc probablement antérieures au Concerto pour clavier, dont la popularité remonte à l’interprétation que Mendelssohn en donna à Leipzig, en 1837, et à la publication de la partition qui s’ensuivit.
[...]"

Dans l'enregistrement présenté sur cette page, ce concerto pour clavecin est interprété à l'orgue par Richard ELLSASSER et un orchestre nommé «Philharmonia Orchestra of Hamburg» dirigé par Hans-Jürgen WALTHER: pour quelques informations sur cet orchestre ainsi que sur les enregistrements que Hans-Jürgen Walther fit pour le disque au début des années 1950, voir cette page de mon site. Sur une autre édition, l'orchestre est nommé «Hamburg Chamber Orchestra», qui est la dénomination correcte de cet orchestre fondé en 1950 par Hans-Jürgen Walther, et qu'il dirigea jusqu'en 1957: D'après «A Classical Discography» de Michael GRAY, l'enregistrement date de 1956 et fut effectué dans la «Musikhalle» de Hamburg, plus connue sous le nom de «Laeiszhalle». L'orgue devrait être celui de la grande salle, qui fut construit en 1950 par la maison Beckerath d'après la documentation conservée de l'orgue Walcker de 1908. L'instrument a 59 registres sur quatre manuels et pédale, voir cette page pour plus de détails.

Voici donc...

Johann Sebastian Bach, Concerto en ré mineur, BWV 1052, Richard Ellsasser, orgue, «Philharmonia Orchestra of Hamburg», Hans-Jürgen Walther, 1956, «Musikhalle Hamburg»

   1. Allegro              08:15 (-> 08:15)
   2. Adagio               07:51 (-> 16:06)
   3. Allegro              09:09 (-> 25:15)

Provenance: Metro Goldwin Mayer MGM E 3365

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